Ongoing 2/12
Mary Grether
3 people found this review helpful
May 13, 2022
2 of 12 episodes seen
Ongoing 0
Overall 10
Story 10
Acting/Cast 10
Music 10
Rewatch Value 10

don't call it mystery

I will go from the start, I love themes like this one, it has Agatha christi written all over it!

I admit I didn't think I would like it, but so wrong!

there's #2 depicts Hercule Pirout, awesome! and more to come, wish I could find more like this !! the actors are awesome, loved the way the young man put down the cops, in a nice way, of course, could work his way to be another sherlock holmes, "me thinks a mystery afoot" per sherlock holmes that is. I think you all will enjoy this, it's refreshing and funny.
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Completed
Robert Morane
0 people found this review helpful
Aug 20, 2022
12 of 12 episodes seen
Completed 0
Overall 5.0
Story 7.0
Acting/Cast 7.0
Music 5.0
Rewatch Value 4.0

Disappointing...

I'm not familiar with the manga, so when I saw the high rating, I was expecting an interesting story. plot twists, great characters (I had just finished "Beyond Evil" and I was in the mood for something similar).
That's not it.

The show is more like a collection of short stories (1/2 episodes each) and there's no place for character development, tension building, heart-stopping moments.

The one thing I remember from this show is the actor with the beanie who thought every line had to be shouted.
Probably not a good sign.

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Ongoing 5/12
Kenseiden
10 people found this review helpful
Feb 8, 2022
5 of 12 episodes seen
Ongoing 0
Overall 9.0
Story 8.5
Acting/Cast 9.5
Music 8.0
Rewatch Value 9.0

L'étrange disparition de mon coiffeur

Un drama avec Masaki Suda en tête d'affiche est toujours un événement. Et quelle tête… pour cette affiche ! Car c'est avec ce gros plan outrancier sur les flyers promotionnels que les producteurs cherchent à attirer la (le) Fan. Non pas dans la mise en avant de son charme excessif, mais dans celle de son énième expérimentation capillaire. Et elle touche, ici, au crime au fer à friser. Véritable insulte à tous les quarantenaires dont je fais depuis longtemps parti et qui n'ont pas eu besoin d'un coiffeur depuis des siècles. Cet air hautain sera la marque de fabrique de Kunou Totono, le rôle d'étudiant en psychologie détaché de tout problème matériel et physique, mais obligé de résoudre malgré lui ceux de ses congénères. Une leçon d'acting qui rendra encore plus jaloux ceux qui trouve Suda Kun vraiment trop gâté par la nature. Beaux-drôle-sympa- talentueux acteur et chanteur à tube. On aimerait tellement qu'il ait une face cachée, qu'il soit arrêté par la police pour soupçon de meurtre, par exemple.

Eh bien, votre vœu est exaucé. Car c'est exactement ce qui lui arrive dans le 1er épisode de Mystery to Iunakare. Cette adaptation d'un manga de détective n'a à priori rien d'originale. La police japonaise débordée par son incompétence habituelle, fait appel à un jeune étudiant très renfrogné, mais surtout extrêmement "donneur de leçons". Son air pompeux et sa franchise seront son Skill, puisqu'il en faut un dans tout bon drama/Manga d'enquête. Et c'est là que la série devient intéressante. Le mépris, malgré lui, que peut insuffler notre héros à son interlocuteur amène des situations d'une drôlerie sans nom. Des répliques à mourir de rire se percutent avec des réflexions profondes en psychologie et sur la nature humaine. Les leçons en longs monologues donnent l'impression que notre héros s'écoute parler, mais il touche à chaque fois en plein cœur l'accusé, la victime ou le policier aux abois.

Masaki Suda à la classe avec ses frisettes et son écharpe à la Harry Potter. D'une voix calme, et d'un regard perçant il déblatère les pires horreurs sur la personne en face de lui. Mais il redevient un enfant de 5 ans, quand il brule de jalousie envers la coupe de cheveux d'un autre personnage aux cheveux raide. Ou qu'il est dérangé à chaque fois qu'il s'apprête à faire un Curry…, son seul passe-temps. Aucun autre acteur n'aurait pu aussi bien tenir le rôle. Si bien, qu'il devient difficile pour les seconds rôles de se mettre en avant. Pourtant, le choix du casting tient la route. Quelques vieux briscards plus connus, comme Endo Kenichi (Radiation House), Morishita Yoshiyuki ou Kohinata Fumiyo font des apparitions ou jouent un rôle majeur, mais la plupart des autres acteurs ne sont pas (encore) vraiment bankable. Et vous vous surprendrez à dire tient, il joue aussi dedans celui-là. On est néanmoins en face d'une grosse production. Mais Suda-Kun à dû partir avec la caisse.

Il a dû laisser peu de yen, car certains choix budgétaire sont étranges. Ces airs de musiques classiques appartenant au domaine publique, trop connues et utilisées à outrance qui fonctionnent toutefois, par exemple. Renforçant le côté pompeux de notre héros. Certes, il y aura d'autres thèmes et un ending de toute beauté par King Gnu, mais pas d'opening, même pas un générique. Il est vrai que le montage continue dans le bon marché. Ces noms de protagonistes sur fond noir (la personnalité est dans les Kanjis, je sais) à chaque fois que Totono commence son analyse psy, par exemple. Ses images de reportages ou de journaux, genre tuto 3DMaker, dont les Japonais raffoles. Mais tout renforce une ambiance académique et on apprend un tas de chose sur la psychologie humaine. Les seconds rôles viennent demander conseil et ils tombent en analyse malgré eux. Ils sont touchants ou drôles, mais cela se termine un peu trop souvent en torrents de larmes.


Le 4e mur est régulièrement brisé, avec un mépris des Dramas pour notre héros préféré. Ce moquant des situations convenues. Et pourtant, les situations se répètent. Comme dans ses mêmes dramas. Pouvant, par la même, devenir lourdes, vu en plus les ficelles, pardon les cordes pour les amener. Des lieux communs, comme le manoir, l'interrogatoire, la bombe à désamorcer et en même temps, beaucoup de maux de la société moderne sont abordés. Suicide, harcèlement, infertilité… On passe du coq à l'âne, mais bien écrit comme un livre de philosophie

Le découpage reste déroutant pour une série. Affaire résolue à la moitié de l'épisode et la suivante commence immédiatement, alors qu'il ne reste que 10 min. Du coup difficile de s'arrêter à la fin d'un épisode. On la suivra donc en binge watching. Marque d'une grande série, piloté par un acteur qui à coup sûr est destiné à une grande carrière internationale. À condition qu'il coupe cette tignasse…

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Completed
dawnraptor
0 people found this review helpful
May 17, 2023
12 of 12 episodes seen
Completed 0
Overall 8.5
Story 9.0
Acting/Cast 8.0
Music 7.5
Rewatch Value 8.0
Conosciuto anche come Mystery to Iunakare, questo drama giapponese del 2022 è un parziale adattamento del manga Mystery to Iunakare di Tamura Yumi. Sono 12 episodi da poco meno di un’ora, di cui gli ultimi due sono due extra che si collocano all’interno della serie principale.

La prima cosa da sapere, prima di visionare il titolo, è che il mistero principale non viene completamente chiarito: la scena finale ci dà a intendere che c’è un ulteriore strato di cipolla da pelare, per così dire. Apparentemente, il film Don't Call It Mystery: The Movie, etichettato come sequel e che si presume sarà disponibile nell’autunno 2023, non verterà su queste indagini. Il sunto disponibile non ne fa menzione e, soprattutto, su Mydramalist la lista degli attori, forse ancora parziale, per il momento non vede Nagayama Eita nel cast.

Ad ogni modo, i curiosi possono aspettare la pubblicazione in Italia del manga, che potrebbe arrivare presto. Incrociamo le dita. Rimanere in sospeso non è mai una bella cosa.

Protagonista assoluto del drama è Totono Kuno, interpretato da un brillante Suda Masaki, uno studente universitario di psicologia con una gran testa di capelli ricci, che sono un po’ il suo cruccio, e con una gran passione per il curry. Kuno ha una memoria prodigiosa, è intelligentissimo e ha capacità di osservazione fuori dal comune. L’insieme di queste qualità è perfetto per la risoluzione di misteri, ma lo rende anche un po’ distante dai suoi simili, in difficoltà nel relazionarsi con possibili amicizie o situazioni romantiche. La cosa sembra peggiorare ulteriormente quando vicino a casa sua viene scoperto il cadavere di un compagno, e tutti gli indizi sembrano puntare su di lui, ma… niente paura! I poliziotti non hanno idea di chi si siano messi in guardina, e il nostro ci metterà poco a scagionarsi e a risolvere brillantemente il mistero, elargendo, per buona misura, numerose perle di saggezza agli investigatori.

Da lì, sarà spesso chiamato in aiuto per risolvere circostanze ingarbugliate, quando non saranno proprio queste situazioni a venirlo a cercare, ovunque si trovi, perfino in ospedale! In realtà sembra che il povero Kuno abbia una calamita che attira invariabilmente matti, assassini e personaggi particolari, per cui si trova sempre in mezzo a situazioni misteriose e spesso pericolose, riuscendo sempre a trovare il bandolo della matassa.

La personalità di Totono Kuno ti prende a poco a poco. E’ un solitario anche perché può risultare molto respingente: col suo fare dimesso e in tono ingannevolmente piatto spara bordate ad alzo zero senza risparmiare nulla e nessuno. Le vicende presentate sono molto tristi e deprimenti, parlano di situazioni familiari insostenibili, di malattie, assassinii, serial killer. Come se non bastasse, il nostro sputa addosso al malcapitato di turno e quindi, per interposta persona, allo spettatore, un concentrato di amarissime verità. La cosa può diventare irritante e stucchevole, i primi episodi sono forse i più densi di queste situazioni, e devo dire che mi hanno disturbato un po’. Sarà la mia coda di paglia?

Alla fine, comunque, non si può fare a meno di lasciarsi stregare dall’involontario detective, di cui si intuisce un doloroso passato, al pari di quello di altri personaggi che ci vengono presentati. I vari casi che vengono risolti si rivelano pian piano per essere, in qualche modo, collegati in un affresco comune, e questa è una gran bella cosa. Meno piacevole è, invece, che le vicende procedano a volte “aiutate” da scempiaggini poco credibili o da casualità spicciole, coincidenze che solo in Dramaland possiamo vedere. In una occasione pare ci sia addirittura un accadimento paranormale e, a mio gusto personale, in una storia di questo tipo ci sta un po’ come i proverbiali cavoli a merenda.

La sceneggiatura è però per lo più abbastanza intelligente, ricca di colpi di scena, e non tutti prevedibili, con continue sorprese e molti rovesciamenti di fronte. Mai, come qui, si deve fare il verso a Labyrinth: tutto non è sempre come sembra. In tutta sincerità, bisogna però dire che la trama procede con molti cliché. Per esempio il genio un po’ strambo e magari dal triste passato, l’abbiamo già visto in tutte le salse, le persone che incontra che vengono in qualche modo “salvate” o che tramite lui imparano a guardare le cose sotto altri punti di vista, o a non mentire a se stesse, non sono propriamente nuove, e così via. La polizia, per quanto presente, non sembra essere particolarmente efficace e pare esistere solo per dare un’aura di ufficialità a certe situazioni che sarebbero altrimenti molto più incredibili di come sono presentate.

Ma si perdona quasi tutto perché questa serie ha un gioiello magico che le permette di superare ogni difficoltà: Suda Masaki. E’ la sua brillante interpretazione a reggere buona parte del drama, e a reggerla bene. Triste, perplesso, stupito, meravigliato, felice (normalmente, per essere riuscito finalmente a mangiare il suo curry, visto che viene sempre interrotto), senza dimenticare spietato, quando recapita i suoi numerosi colpi bassi verbali: in ogni circostanza la sua presenza sullo schermo basta a in-trattenere l’attenzione dello spettatore.

Quando dico che Suda Masaki è la colonna portante della serie, non bisogna però dimenticare che si tratta pur sempre di un’opera giapponese, con tutti i suoi peculiari manierismi. La recitazione è spesso plateale, i gesti sono esagerati, da parte di molti dei protagonisti. Assistiamo comunque ad un esperimento abbastanza riuscito di fusione tra gli elementi umoristici, che non sono mai eccessivi, con i numerosi elementi drammatici, anche sanguinosi.

Lo sbocciare dell’amicizia, o di qualcosa di più, con la misteriosa Raika (Kadowaki Mugi) così come il rapporto con l’impenetrabile Garo (Nagayama Eita), biondino che pare interessato a Kuno (e ricambiato?) in maniera forse più che amichevole, ci dà un assaggino di coinvolgimento romantico non molto sviluppato. Anche alla poliziotta Seiko (Ito Sairi) forse non dispiacerebbe conoscere un po’ meglio il piccolo genio ma… almeno in questa serie, non s’ha da fare.

Una colonna sonora gradevole sicuramente aiuta molto il coinvolgimento emotivo nelle vicende: Chameleon, dei King Gnu, si è ascoltata diverse volte con molto piacere, così come sono stati spesso azzeccati molti brani di musica classica.

In sunto una serie che, al netto di qualche colpo basso di troppo alla coscienza dello spettatore, e di qualche colpetto forse eccessivo per indirizzare la trama, riesce a mantenere alti l’interesse e la tensione fino in fondo. A patto, beninteso, di non farsi infastidire troppo dallo stile di recitazione giapponese. Bisogna farci l’occhio, ma ci si abitua in fretta.

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Mystery to Iunakare (2022) poster

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